Zara Luchesse Beautiful Angel [Fini 100%]

Messages : 8 Date d'inscription : 09/11/2009

♣ CARTE D'IDENTITE

Nom :

Prénom(s) :

Date & Lieu de naissance :

Âge :

Occupation :

Statut :

♣ MEET ME ON THE EQUINOX

Une rencontre, Une naissance, Une Adoption :

Il y a un commencement a tout :

« Je peux vous inviter à boire un verre ? »
La phrase la plus connue du monde pour accoster une fille, en espérant que le courant passe et qu’on finisse la nuit dans les mêmes draps …
« Pourquoi pas. Après tout. »

Voila comment commence l’histoire de Zara…
Un papa dragueur et une maman blasée par la vie qui depuis toujours sait ce que valent les hommes. Pas grand-chose. C’est ce qu’on lui a appris depuis qu’elle a 5 ans. Fille d’un couple de divorcé, elle se fout royalement du « qu’en dira-t-on ? «. Son père se tapait la bonne, sa mère les a surpris en pleine galipette dans la laverie, et c’est ainsi qu’en 1974, ils divorcent, laissant la jeune Elisabeth aux bons soins de sa maman pendant que son papa commence sa nouvelle vie avec la bonne. « Les hommes sont tous les mêmes … Ils te charment, te font la cour, te demandent en mariage, te mettent dans leur lit, et se font la première venue qui a les cuisses un peu trop ouvertes. » … Plutôt cru pour une petite fille de 5 ans qui veut voir son papa. Elisabeth se promet donc de ne jamais affliger ça à ses enfants … Elle aurait mieux fait de fermer sa grande bouche …
Alors qu’ils prennent un énième verre, elle finit par tomber sous le charme de cet Italien typique, visiblement de bonne famille. Il a de l’argent, elle le voit, elle le sent. Elle a apprit à développer ce sixième sens pour sentir les hommes à argent … Après tout, Maman lui a dit que c’était la seule chose fiable … La chaleur monte soudain alors qu’elle croise le regard de son compagnon de fortune.
Ni une, ni deux, le couple monte à l’étage, se cachant sous les draps. Alors qu’ils émergeant le lendemain, elle se rend compte qu’il n’a rien de charmant, rien de plus que les autres. Lui, se dit qu’elle n’est jamais qu’un coup parmi tant d’autres … Ils se quittent, sans rien se dire, sans se regarder. Puis quelques semaines Elisabeth apprend qu’elle est enceinte d’une petite fille, qu’elle appela Zara. Ne pouvant l’élever seule Elisabeth décida d’accouché son X. Avant d’accouché elle pris soins de trouvé une bonne famille pour sa petite fille, elle trouva les Alexander une bonne famille riche, quand elle a vu les parents elle a de suite sue que c’était eux qu’elle voulait pour sa petite Zara. Le 19 Mai 1985 la petite pointa le bout de son nez. Quelques jours plus tard elle partit vivre chez les Alexander.

Une Université pas comme les autres :
« C’est ici que les plus grands viennent étudier . C’est ici que moi-même j’ai étudié . »
« Chéri , tes chevilles enflent. »
L’homme jette un œil à son épouse alors que sa fille regarde cette université . Alors comme ça , c’est université est celle des plus grands . Celle où son père a étudié .
« On est tous passé par cette université . Moi, mon père , mon grand-père … C’est … Un truc de famille , on passe ça d’un homme à l’autre , génération après génération . »
L’adolescente tourne son regard vers son père , les sourcils froncés .
« Papa , jamais une femme n’a été à l’université ? »
« Hum … Pas dans celle-ci … Et je ne pense pas que la lignée des Luchesse reviendra ici un jour … »
« Je pourrais y venir moi . »
L’homme regarde sa chair , son sang , lui dire qu’elle veut venir ici .
« Zara … C’est , logiquement , aux hommes de la famille de venir ici , pas aux filles. »
La jeune fille tourne la tête , persuadée qu’elle trouverait ici une place , et le bonheur absolu . Les parcs sont magnifiques , la Hongrie l’a toujours fait rêver . Petite , quand son père lui racontait des histoires , le pays lointain n’était autre que la Hongrie , il lui racontait les histoires de Sissi , des histoires qui font rêver toutes les petites filles.
« Papa , j’aimerais étudier ici quand j’aurais l’âge . »
L’homme sourit , touché par l’enthousiasme et la volonté de sa fille .
« Comme tu veux Zara . »

« Hum … Je … J’ai été acceptée . »
La jeune fille tient dans sa main une lettre , tremblante , alors que ces deux géniteurs la regarde , un immense sourire sur les lèvres .
« Oh Zara’ , je suis si fière de toi. »
Sa mère l’attrape , et la prend dans ses bras . Son bébé devient adulte . Eden sourit , encore sous le choc . Elle vient d’être acceptée dans l’une des meilleurs universités d’Europe . 6 ans auparavant , alors qu’ils étaient venu en Italie , son père qui avait vécu un moment dans le pays avait eu l’idée de lui montrer l’université qu’il avait fréquenté . Et immédiatement , la jeune Zara avait suscité un intérêt certain pour ce lieu magique. Maintenant , le rêve devenait doucement une réalité . En Septembre , elle entrerait dans l’université qui avait vu suivre des générations de Black .
« Bien , ma fille … Encore une fois , tu as réussi . Je suis fier de toi mon bébé . »
La jeune fille sourit , et part se faire une place dans les bras protecteurs de son paternel . Tout commence pour elle , maintenant .

« Nous y voilà Zara. »
La jeune fille sourit et contemple cette université , à laquelle elle appartient en tant qu’étudiante maintenant . Elle avance , sac en min , sourire aux lèvres . Jamais , elle n’a été plus heureuse et fière qu’aujourd’hui , simplement car , aujourd’hui , son rêve devient une réalité . Elle a quitté la L’Amérique où ils venaient de s’installer pour venir s’installer ici . C’est une grande première pour la jeune fille que d’être séparée de ses parents . Maintenant , elle vit pour elle , grâce à elle . Sa vie commence réellement maintenant, à elle de l’écrire . Après quelques Année, elle obtenue son diplôme d’avocate avec son plus grande fierté, elle revient donc vivre ici dans sa ville natal.

Une belle rencontre :

Lucas rentrait du boulot, il faisait chaud et les rues commençaient à se vider petit à petit pour faire place aux filles en mini jupes et talons hauts, maquillées à faire peur. Il avait décapoté sa voiture, une vieille voiture vintage que son père lui avait offert il y a quelques années maintenant et qu'il avait entièrement retapé de lui-même. La radio à fond, passant un bon vieux rock comme on en fait plus, Lucas roulait sereinement vers son quartier. C'est alors qu'il croisa une femme sur la bas-côté, assise sur le trottoir devant son épave. Il n'y fit attention que quand il la reconnut dans son rétroviseur. Zara. Il pila et enclencha la marche arrière pour s'arrêter juste devant elle.
Lucas - Mais qui voila assise sur son petit trottoir!
Zara - Je ne fais pas ça par passion!
Lucas - J'imagines, un problème ?

Lucas avait rencontré Zara lors d'une soirée à la fac. Elle était seule au bar et ne semblait pas très loquace mais il avait tout de suite été attiré, en tout bien tout honneur, par cette belle brune. Il lui offrit un verre et ils parlèrent. Elle était charmante mais malheureusement, semblait un peu tendue comme si elle pesait chacun des mots sortant de sa bouffe ce qui avait encore plus intéressé Lucas. Il n'osa pas lui demander son numéro mais lui laissa le sien. Elle en ferait ce qu'elle veut après tout.
Zara - Ma voiture me fait le coup de la panne.
Lucas - Au moins c'est que la voiture et pas un dragueur à deux balles mais tu as de la chance Zara, je ne fais pas que des études dans la vie, je rafistole également de vieilles carcasses !
Zara - Pour une fois que j'ai de la chance!

Il sortit de la voiture et se dirigea vers le capot de la vieille voiture bleue. Pas de doute, c'était tout simplement la batterie qui venait de lâcher, rien de grave mais Lucas fit semblant de chercher encore pour rester un peu plus en sa compagnie.
Lucas - Ta voiture est dégueulasse de l'intérieur ...
Zara - Je suis pas vraiment une fana de moteurs en fait!
Lucas - Et bien je te crois sur parole ! Bon, c'est juste la batterie donc la bonne nouvelle, c'est que tu n'auras pas à payer grand chose. La mauvaise, c'est que ta voiture va devoir rester là. MAIS, la deuxième bonne nouvelle, c'est que je vais te ramener, avec ton accord bien sûr!
Zara- Ai-je le choix ?
Lucas - Non m'dame !
Zara - Alors c'est parti!

Zara récupéra ses affaires dans sa voiture, la ferma à clé puis monta à l'avant de celle de Lucas Ils échangèrent quelques mots pendant le trajet et Lucas crut même apercevoir un sourire de la belle. Une fois arrivée chez elle, elle le remercia tout en cherchant un bout de papier dans son sac.
Zara- Tu ne l'as pas demandé mais le voici.

Quelques chiffres sur un bout de papier. Lucas était heureux comme un gamin.